Il vise à permettre une expérimentation pour une profession dont nous n'avons pas parlé jusqu'à présent, les psychomotriciens, au même titre que celle adoptée pour les orthophonistes.
L'article 41 évoque les kinésithérapeutes, mais beaucoup d'autres professions souhaitent aller plus loin par rapport à leurs possibilités actuelles. Les soins psychomoteurs sont très importants en libéral. Nous souhaitons expérimenter l'accès direct lorsque le psychomotricien exerce dans une structure de soins coordonnée, c'est-à-dire un environnement encadré, pour apporter une meilleure réponse aux besoins des territoires.