Il concerne encore les femmes droguées accueillies par des structures mobiles. Le déploiement de l'« aller vers » s'accompagne d'une particularité : les femmes les plus précaires sont dans une situation de grande vulnérabilité. Elles n'ont pas le même comportement, elles ont peur et ne vont pas vers les caravanes dédiées. Des dispositifs spécifiques pour les femmes, appliqués dans certains pays, existent ; je propose qu'ils fassent l'objet d'une expérimentation.