Vous avez raison, madame Fiat : les missions PASS et précarité vont être transférées au fonds d'intervention régional. Elles représentent une enveloppe avoisinant 300 millions d'euros par an. Leur répartition est aujourd'hui calculée sur la base d'un algorithme, et je ne pense pas que ce soit la meilleure manière d'appréhender la précarité : les ARS connaissent mieux les situations locales, qui sont parfois difficiles à saisir ou à mesurer. Il est vrai que l'attribution des crédits soulève une question de transparence, mais l'amendement de notre collègue Isaac-Sibille, voté il y a quelques instants, permettra d'y voir plus clair. Avis défavorable.