Il vise également à financer la titularisation d'une partie des contractuels de l'enseignement secondaire. Vous avez indiqué, monsieur le ministre, refuser la titularisation afin de vous assurer de la qualité des enseignants. Or l'éducation nationale compte 37 000 contractuels, dont certains travaillent depuis plusieurs années et donnent entière satisfaction : il n'y a donc aucun intérêt à les maintenir dans la précarité. Cela n'est pas non plus dans l'intérêt des élèves. Nous vous proposons donc de titulariser 10 % des contractuels chaque année.