Venez donc plutôt rencontrer à la fois des accompagnants d'enfants en situation de handicap, des enseignants et des parents d'élèves. Acceptez mon invitation, monsieur le ministre, comme votre collègue Sophie Cluzel l'a fait. À Amiens, je lui ai fait rencontrer quatre accompagnantes d'enfants en situation de handicap, dont trois voulaient démissionner. Je veux les convaincre de ne pas le faire parce qu'elles font un métier utile à l'enfant et utile à la société, mais aussi parce que je pense que ce métier, ce sont d'abord ceux qui lutteront de l'intérieur qui le feront progresser et que c'est ensemble que nous avancerons. Venez donc, monsieur le ministre !