C'est un premier pas, bien sûr. Les AESH sont nécessaires pour une inclusion de qualité, et nous appuyons leurs revendications statutaires. Mais vous avez raison de dire que la politique d'inclusion scolaire ne peut pas uniquement dépendre d'eux. Il y a bien d'autres failles : on manque par exemple beaucoup de professeurs spécialisés et de psychologues dans les réseaux d'aides spécialisées aux élèves en difficulté (RASED). Tout cela est une question de budget. Excusez-moi de revenir toujours au point de départ.