Il vise à augmenter de 5 millions d'euros les crédits consacrés au FDVA. Ce fonds n'est toujours pas suffisamment doté pour compenser la suppression de la réserve parlementaire qui bénéficiait aux associations. Dans un contexte de reprise d'activité qui reste difficile et où l'action des associations est toujours aussi indispensable, celles-ci ont besoin, à tous les échelons du territoire, d'un soutien renforcé des pouvoirs publics pour fonctionner, développer de nouveaux projets et renforcer leur structuration.
Madame la secrétaire d'État, tout à l'heure je vous ai demandé pourquoi la réserve parlementaire avait été supprimée. Pouvez-vous me répondre ?