Madame la secrétaire d'État, du temps de la réserve parlementaire, je répartissais les 130 000 euros dont je disposais entre les 600 associations situées dans ma circonscription, en travaillant main dans la main avec les maires des villes et des zones rurales, toutes tendances confondues. Aujourd'hui, avec le FDVA, il n'y a guère qu'une quinzaine d'associations dans ma circonscription à bénéficier d'une aide, et les autres sont nombreuses à venir se plaindre auprès de moi de ne plus bénéficier d'aucun soutien.