Mais, madame la secrétaire d'État, ce dont nous avons besoin, ce n'est pas de plus de transparence et d'informations mais de plus de crédits. Nous vous demandons qu'ils soient rétablis à leur niveau de 2017, rien de plus, rien de moins.
Que les parlementaires siègent dans les comités du FDVA, où leur voix aura un moindre poids par rapport à celle des représentants de l'État, c'est un leurre, nous le savons. Que nous ayons des informations sur la façon dont les crédits sont dispensés, à la bonne heure ! Ça ne rapporte pas de moyens supplémentaires aux associations.