Vous m'interrogez sur un point dont nous avons déjà eu l'occasion de débattre et sur lequel il y aura peut-être à nouveau un débat lors de la deuxième lecture, voire de la troisième lecture du projet de loi. Bien évidemment, j'entendrai à nouveau vos arguments que vous êtes fondé à exprimer.
Je ne crois pas qu'il y ait grand monde dans cet hémicycle et dans ce pays qui puisse considérer qu'au cœur de l'hiver la situation épidémique serait par magie meilleure qu'au début de l'automne.