Monsieur le président, monsieur le ministre, monsieur le vice-président de la commission des finances, mesdames, messieurs les députés, j'avais prévu d'adresser quelques mots de remerciements à la fin de l'examen du dernier texte mais, comme le ministre, je vais les prononcer dès à présent.
Je remercierai tout d'abord mes collègues parlementaires, sur les bancs de la majorité comme de l'opposition, de leur assiduité pendant l'élaboration de ces lois de finances. Vous comprendrez que j'aie une pensée particulière pour le groupe La République en marche et sa whip, Amélie de Montchalin, avec laquelle nous avons formé, je le crois, un couple – en tout bien tout honneur – aussi inattendu que déterminé et, permettez-moi de le penser, efficace.