Je connais votre attachement à ces sujets, monsieur le député ; je n'irais pas jusqu'à dire que je partage votre inquiétude, mais vous avez raison : nous devons prêter une grande attention à la transmission aux jeunes du devoir de mémoire. Il nous faut être vigilants et surtout faciliter les choses, cultiver notre mémoire en montrant qu'elle est un facteur de l'avenir, non du passé : on ne peut construire et se construire qu'en sachant d'où l'on vient, quelle est l'histoire de son pays.
Nous travaillons à sensibiliser les jeunes : le meilleur endroit pour ce faire, c'est l'école. Partout où je le peux, j'en appelle aux professeurs afin qu'ils se mobilisent. Nous les aidons, nous comptons les aider encore plus…