Vous aurez compris, madame la ministre, que je ne souhaitais pas entrer dans le détail de la façon d'utiliser les 103 millions que nous pourrions récupérer, et que mon but était surtout d'ouvrir une discussion sur l'OTAN. On peut, chers collègues, être favorable au maintien de la France dans l'OTAN mais je rappelle que, jusqu'en 2007, nous n'étions pas membres du commandement intégré. La décision du président Sarkozy avait d'ailleurs été l'occasion d'un débat à l'Assemblée, grâce notamment à François Hollande – devenu Président de la République depuis –, qui avait déposé une motion de censure. Cela a fait débat…