En leur nom et en notre nom, je tiens aussi à remercier la marine nationale, qui les a sauvés en 1962.
Les engagements du Président de la République ne doivent pas rester lettre morte : il faut réparer – si c'est possible – ce qui constitue l'une des blessures les plus importantes de notre histoire contemporaine. Cela passe par de la solidarité, avec une allocation de reconnaissance complémentaire de celle de la loi de 2005, mais cela passe aussi par la vérité et par la justice. Notre pays le doit collectivement à nos amis harkis et à leurs familles, avec lesquels nous étions rassemblés autour du drapeau français le 25 septembre dernier à Largentière en Ardèche, comme dans les autres régions de France.