Comme je vous aime bien, monsieur le ministre, je ne voudrais pas qu'on vous colle l'étiquette du matraqueur fiscal, comme cela s'est passé pour votre prédécesseur il y a cinq ans.
Quant aux économies, il n'y en a pas, ou si peu. J'en donnerai deux exemples.
S'agissant des fonctionnaires d'État, 324 postes supprimés sur 2 millions, alors que les effectifs sont de nouveau en hausse depuis deux ans – plus 16 000 en 2017.