…et sur les bancs d'une certaine opposition de l'autre côté de l'hémicycle également : rendons à César ce qui appartient à César !
Quelques années plus tard, un beau matin, le Président de la République se lève, il se rend compte que les OQTF ne sont quasiment plus exécutées, et il choisit de tordre le bras à certains pays auxquels la France ne délivrera pas de visas s'ils ne font pas d'efforts. Dont acte !