C'est un vrai sujet. Il faut donc augmenter le nombre de places en CADA et extirper les demandeurs d'asile des griffes des marchands de sommeil et de tous ceux qui rôdent autour d'eux. Le problème, c'est que le jeu budgétaire qui nous est présenté est assez pernicieux : il conditionne l'ouverture de nouvelles places en CADA à la non-utilisation de l'ensemble des crédits destinés à l'ADA. Pardon de le dire, mais l'un ne peut pas aller avec l'autre. Il faut évidemment faire en sorte d'augmenter le nombre de places en CADA et, à partir de là, on pourra diminuer les crédits de l'ADA ; prenons les choses dans le bon sens.