Permettez-moi d'ajouter, pour défendre l'amendement, qu'il vise également à tenir compte du calendrier parlementaire de 2022, puisque le Parlement achèvera ses travaux à la fin du mois de février et les reprendra à la fin du mois de juin, ce qui pourrait nuire à la réactivité de l'État en cas de catastrophe naturelle majeure au cours de cette période.