Je ne sais pas si les Français considèrent aujourd'hui que ce que nous faisons est très bien. Je me méfie des sondages, bons ou mauvais. Comme disait le président Chirac, dans la vie politique, il faut savoir repriser les bas et mépriser les hauts. Il faut donc savoir regarder toutes ces études avec prudence. Je sais, comme mon ancien camp politique – mais c'est aussi vrai dans le nouveau monde – que le vainqueur des sondages d'aujourd'hui n'est pas le vainqueur des urnes le lendemain.