Quand on prononce le mot « relance », on nous répond toujours par le mot « dette », et c'est toujours le même cycle. On nous dit qu'on ne fera pas de relance pour ne pas alourdir la dette et, à la place, on fait des coupes budgétaires. Or le budget que vous nous présentez pour les années à venir accumule les coupes budgétaires, presque à hauteur de 100 milliards d'euros. Ces 100 milliards, ce sont déjà les investissements qui ont manqué pendant le quinquennat de François Hollande.