Il s'agit souvent d'intercommunalités dont l'excédent de financement annuel ne suffit pas à cofinancer une étude en vue de réaliser une OPAH. Je souligne ce point, parce que les bourgs-centres en difficulté appartiennent souvent à des intercommunalités dont les financements sont faibles. J'ai en tête deux intercommunalités, qui comptent 15 000 et 17 000 habitants, dont l'excédent de financement ne permet pas de lancer un diagnostic nécessaire au lancement d'une OPAH.