Au nom de mes camarades, je vous remercie pour votre réponse, monsieur le ministre, et pour le respect que vous avez témoigné en relevant qu'il y a bien un débat. Je me permets de rappeler que celui-ci n'est pas tout à fait nouveau, puisqu'il a commencé à l'avant-dernier siècle, lorsque le capitalisme est devenu le mode de production dominant. Depuis cette époque, on débat pour essayer de comprendre pourquoi le capitalisme est agité par des crises aux effets destructeurs. Je veux bien dire que c'est une destruction rose, aimable et gaie,