Nous mettons ainsi fin à l'optimisation fiscale. Nous faisons payer aux plus grandes multinationales et aux géants du numérique la juste part d'impôt qu'ils doivent payer en France. C'est une révolution fiscale que nous comptons bien, avec le Premier ministre et le Président de la République, traduire en engagement juridique formel, à l'occasion de la présidence française de l'Union européenne.