D'abord, vous affirmez que je n'aurais pas les bonnes informations. Je les ai prises dans le bleu budgétaire ; ce sont donc les bonnes. Ensuite, vous affirmez que je compare deux gouvernements qui n'ont rien à voir : c'est vrai, celui d'Édouard Philippe comptait trente personnes, celui auquel vous appartenez en compte quarante-trois. Pourtant, je n'ai pas constaté d'amélioration réelle entre l'un à l'autre.
À longueur de journée et de séance, vous nous faites la leçon. Dès que nous proposons quelque chose, vous répondez : « Non, ça va coûter de l'argent ! » Mais ce n'est pas la règle que vous appliquez à vous-mêmes. Avec vous, c'est « faites ce que je dis, mais pas ce que je fais » !
Vous parlez d'améliorer le lien avec les parlementaires. Vous ne devez pas être vraiment au courant de ce que nous vivons. Nous comptons les uns et les autres des dizaines de questions écrites restées sans réponse.