Pour les habitants de ces territoires souvent défavorisés, qu'ils soient ruraux ou classés quartiers prioritaires de la ville, accéder à la médecine de ville devient difficile, critique, voire impossible.
Nous héritons aujourd'hui de dizaines d'années d'immobilisme en la matière, nous ne l'oublions pas.
Si notre majorité s'est rapidement affairée pour qu'à l'horizon 2030 la tendance s'inverse, et je m'en félicite, elle n'a pas encore reçu d'écho favorable à ses propositions pour endiguer la désertification médicale immédiate, s'agissant en particulier de la possibilité d'une contrainte d'installation des médecins généralistes et spécialistes au cœur de nos déserts médicaux.