c'est-à-dire ceux qui sont éloignés de l'emploi et de l'éducation, de les accompagner d'abord par la formation, dans une trajectoire de retour à l'emploi ou d'accès à un premier emploi.
Nous assumons cette différence réelle entre nos conceptions des politiques d'emploi. Au-delà du fait que votre amendement coûterait 25 milliards d'euros et qu'il faudrait nous expliquer comment vous les financez, il y a là une véritable question de philosophie politique et de vision de la société.
Nous avons démontré que la valeur travail était au cœur de notre projet, avec un taux de chômage au plus bas de l'histoire récente de notre pays, ce que jamais aucune majorité n'avait fait. Permettez-nous de continuer sur cette voie !