Je ne pense pas qu'il faille créer un nouveau programme, mais il faut continuer à aider le secteur de l'événementiel. J'ai expliqué que le « quoi qu'il en coûte » allait mourir progressivement, en fonction des besoins d'un certain nombre de secteurs. Le secteur de l'événementiel a été l'un des plus touchés par la crise et il bénéficiera d'une prise en charge des pertes d'exploitation des entreprises relevant des filières du tourisme et des loisirs, du sport ou de la culture, mais aussi de certains dispositifs spécifiques à destination des voyagistes, des tour-opérateurs, des professionnels de l'événementiel et du monde de la montagne.
Ces mesures sont encore en vigueur, elles constituent la poursuite et la fin du « quoi qu'il en coûte ». Nous marchons sur deux jambes : le « quoi qu'il en coûte » se termine pendant que nous accélérons et que nous mettons en musique la fin du plan de relance. Les crédits sont bien au rendez-vous : avis défavorable.