Je ne souhaite pas qu'on revienne sur les seuils déterminant les conditionnalités que nous avons aménagées parce que, qu'il s'agisse des émissions de gaz à effet de serre, de l'égalité femmes-hommes, de gouvernance ou de partage de la valeur, les seuils choisis me semblent justes pour accompagner les entreprises dans le sens voulu sans les grever dans leur croissance. Nous avons toujours dit que la priorité, c'était la reprise économique, et je sais que vous partagez le même objectif. En même temps, il faut bien que cette croissance prenne une nouvelle direction, à la fois plus verte, plus juste et plus équitable entre les femmes et les hommes, et permettant davantage de partage de la valeur au sein des entreprises. On tient à ces trois outils de conditionnalité et je pense qu'ils contribueront à leur manière à la reprise économique dont ils n'ont pas entravé les débuts, preuve en est que cette conditionnalité est plutôt équilibrée. Ce sera donc un avis défavorable.