J'ai posé la question au président Philippe Bas : pas de réponse !
À ceux qui s'inquiètent de la date du 31 juillet, je rappelle que le 24 avril prochain, la nouvelle présidente ou le nouveau président, à moins que cela ne soit le même – nous verrons bien – aura toute capacité à nous convoquer s'il le faut, pour adapter les outils, voire déclarer l'état d'urgence. À ce sujet, notre collègue Schellenberger a commis une petite erreur : si jamais l'état d'urgence était décrété par le Gouvernement, celui-ci serait obligé de convoquer le Parlement…