Je crois pouvoir dire avec l'expérience, mesdames et messieurs les députés, à moins que vous ne démontriez le contraire, que les mesures actuelles semblent proportionnées et de nature à freiner l'augmentation des contaminations – je reste très prudent en affirmant cela –, dans des proportions qui permettent d'éviter, comme nous y avons réussi pendant la quatrième vague, une flambée d'hospitalisations et de décès dans notre pays.
Nous pourrions nous satisfaire collectivement de l'équilibre que nous avons trouvé entre le maintien des libertés collectives et individuelles et le freinage efficace du virus.