La question centrale est de savoir si, en cas de nouvelle vague épidémique, nous serons capables d'éviter une saturation de nos capacités hospitalières, afin de ne pas avoir à reprendre des mesures que personne ici ne souhaite connaître à nouveau. L'amendement devrait même être encore amélioré, car cet état des lieux devrait être dressé beaucoup plus tôt qu'à l'horizon de six mois. Il conviendrait en effet que le rapport puisse être rendu plutôt dans trois mois, afin que nous puissions confronter le risque pandémique et nos capacités, et ainsi évaluer les mesures à prendre.