Comme en juillet dernier, je considère que le passe sanitaire constitue un point de bascule, dans la mesure où il instaure une société de surveillance. Dans son avis du 6 octobre, le conseil scientifique, auquel vous vous référez depuis le début de la crise sanitaire, a clairement indiqué qu'il ne fallait recourir aux mesures de contrôle qu'en dernier ressort, compte tenu des outils médicaux et de santé publique dont nous disposons.