Je défendrai cet amendement car la date du 28 février 2022 a ma préférence. Comme les collègues qui viennent de s'exprimer avant moi et comme je le disais au ministre Olivier Véran avant la suspension, je ne comprends pas pourquoi vous n'acceptez pas de fixer cette clause de revoyure à la date du dernier jour où l'Assemblée nationale siégera.
Cette date limite de prorogation du cadre juridique de la sortie de crise sanitaire devrait, logiquement, s'imposer à tous. Ce n'est pas une question d'idéologie politique mais une question de bon sens. La date du 31 juillet, parce qu'elle enjambe deux élections majeures, l'élection présidentielle et les élections législatives, ne peut pas être démocratiquement retenue. Je ne comprends pas que vous ne le saisissiez pas, tout simplement, et je souhaiterais, comme mes collègues, obtenir une réponse sur ce point. Je ne saisis pas pourquoi vous ne répondez pas et n'accédez pas à cette demande de clause de revoyure au 28 février, qui me semble être la meilleure date.