…nous explique qu'il ne faut absolument pas repasser par le Parlement. Vu la tournure des débats, vu les échanges avec le Sénat, vu également les retours des uns et des autres dans les circonscriptions, il s'aperçoit finalement qu'un contrôle du Parlement, avec la remise d'un rapport, avec un débat, mais sans vote, serait susceptible de présenter un intérêt, voire d'être constitutionnel ! On se retrouve donc dans une situation quelque peu alambiquée, dans laquelle, in fine, nous allons débattre sans voter, quasiment sans droit de réplique – comme quand le président Macron vient parler à Versailles, en majesté, puis repart et laisse ses ouailles échanger hors de sa présence.