notamment pour notre jeunesse, du principe « une heure, un kilomètre » et des premiers confinements. La sédentarité est pour la société française une bombe à retardement, dont le coût, dans les comptes sociaux, se monte déjà à 17 milliards d'euros. Il ne faut pas entraver la pratique sportive, où le risque sanitaire est plus que réduit.
Le deuxième argument est votre incohérence. Comme l'a dit tout à l'heure notre collègue, on peut pratiquer la natation à l'école, à soixante dans un bassin, sans passe sanitaire, mais la pratiquer en club, même si on est dix pour se partager plusieurs lignes d'eau, ne peut se faire sans passe sanitaire. Il faut de la cohérence pour notre jeunesse et notre population.