Quant à la stabilité des moyens accordés aux services de l'administration du travail, elle survient après quatre années successives de coupes dans les dépenses de fonctionnement et de réduction des effectifs.
Pourtant, le travail ne se porte pas bien dans notre pays : il mériterait d'être sécurisé face à la précarisation galopante et mieux reconnu, notamment grâce à la rémunération – un sujet que vous n'avez cessé d'éviter pendant tout le quinquennat. La santé au travail devrait également être une priorité, afin que chacun puisse s'épanouir et être heureux dans son activité professionnelle.
Une fois de plus, le budget de la mission "Travail et emploi " ne nous permettra pas d'être au rendez-vous.