Mes amendements ne portent pas que sur la précarité menstruelle, mais sur les femmes empêchées de travailler pour des raisons de santé menstruelle. Qu'existe-t-il pour elles ? Le télétravail. Mais est-il toujours possible d'y recourir ? Non.
Ce sujet est tabou, non reconnu : les femmes n'osent pas en parler ; comme elles sont parfois empêchées de travailler, elles peuvent se retrouver dans une situation de précarité économique – ce qui est différent de la précarité menstruelle, laquelle est liée, entre autres, au coût des protections hygiéniques.