Vous parlez d'un guide, de bonnes pratiques, madame la rapporteure spéciale. En dépit de tout cela, je le répète, 30 % des salariées ont été déjà été harcelées ou agressées sexuellement sur leur lieu de travail. Quant à l'inspection du travail, on sait combien ses moyens sont limités – j'aurais pu d'ailleurs déposer un amendement à ce propos.
On se rend compte qu'aujourd'hui tous les secteurs sont concernés. Je sais que le Gouvernement et la majorité sont engagés sur ces sujets et je crois en votre bonne foi, mais je pense que des crédits sont nécessaires pour cette grande cause du quinquennat, et non seulement des crédits, mais également une meilleure connaissance d'une situation qui est réellement problématique.
En conséquence, l'amendement est maintenu.