Nous sommes tous préoccupés par la situation de ces jeunes à qui il manque une formation initiale et qui sont quelquefois perdus.
J'aurai d'abord des remarques sur la forme. Reconnaissez, madame la ministre, qu'il n'est pas satisfaisant que ce dispositif dont vous soulignez vous-même l'importance soit introduit dans le projet de loi de finances par voie d'amendement. Nous pouvons en outre nous interroger sur le calendrier dans lequel ce contrat d'engagement jeune prend place puisqu'il verra le jour en mars 2022, à la veille d'élections. Comment ne pas y voir une mesure électoraliste ?