Je pourfends vigoureusement l'idée selon laquelle des personnes traverseraient des océans ou des pays hostiles – dans lesquels, parfois, les femmes se font violer au moment de traverser les frontières – pour arriver en France parce qu'elles souhaiteraient se faire recoller les oreilles ou aller en cure thermale. Il faut sortir une fois pour toutes de ce délire collectif.