…mais je rejoins les propos de M. Dharréville sur l'organisation des débats.
Avec le mouvement #MeToo, la parole des femmes s'est libérée. Cependant, les violences perdurent. Pour ces raisons, il paraît nécessaire de financer la création d'un numéro vert d'appel destiné aux victimes de violences obstétricales et gynécologiques. Monsieur le ministre, tout à l'heure j'ai bien entendu votre réponse sur le fait que le numéro d'aide aux victimes ainsi que le 3919 répondent aux questions que peuvent se poser les femmes et les hommes sur ce sujet. Néanmoins, je propose un numéro vert dédié spécifiquement à cette problématique des violences gynécologiques et obstétricales.