Je voudrais soutenir en quelques mots la proposition qui vient d'être défendue par Albane Gaillot, pour la raison qu'elle a évoquée : il faut déployer les moyens nécessaires pour accompagner les femmes qui sortent de la prostitution. Tout ce qui a été dit au sujet du montant de l'aide doit être pris en compte. J'ajoute que le Parlement avait prévu, dans la loi du 13 avril 2016, plusieurs dispositions qui mériteraient d'être évaluées dans leur ensemble afin de dresser un bilan et de déterminer la façon dont nous pouvons avancer. Il semblerait en effet que toutes les dispositions prévues n'aient pas été appliquées comme elles auraient dû l'être.