Monsieur Ahamada, c'est assez énorme ! Vous me répondez que puisque l'usage de ces navires est récréatif, la question est moins importante que pour les véhicules terrestres. Mais nous parlons ici de la protection de l'océan, qui est la clé du réchauffement climatique ! Comment pouvez-vous dire que favoriser la motorisation propre des navires, dans ce contexte, ce n'est pas indispensable ? Pardonnez-moi, je ne vous suis pas.
Madame la ministre, vous avez raison, le président de la Fédération des industries nautiques – FIN –, Yves Lyon-Caen, prépare un rapport. J'ai été auditionnée dans ce cadre. J'attendrai volontiers le résultat de son travail, pour étudier ensemble ces mesures. Je retire donc mon amendement.