Je présidais l'Union des commerçants, industriels et artisans du canton de Marnay lorsque le FISAC a été créé. Dans mon village de 1 800 habitants, non seulement de nombreux commerçants n'avaient pas droit au FISAC, mais ceux qui y étaient éligibles ont été en butte à une procédure complexe et mal ficelée, dans laquelle l'argent était versé très tardivement. En définitive, ceux qui étaient les plus visés n'en ont pas nécessairement bénéficié. Le FISAC procédait d'une bonne intention…