Il est dommage d'avoir laissé le FISAC s'éteindre, car il était connu de tous et parlait aux commerçants comme aux élus ; il était devenu une sorte de marque, à l'heure où tant de dispositifs technocratiques ne parlent à personne. D'année en année, le FISAC était l'objet de débats – certains le trouvaient insuffisant, d'autres trop élevé, d'autres encore critiquaient sa répartition… – mais au moins était-il connu de tous. Nous devrions le faire renaître, sous l'appellation FISAC, en rectifiant ce qui ne fonctionnait pas. Cela pourrait passer, entre autres, par le programme Action cœur de ville.