Nous n'ignorons pas les conséquences de la loi NOTRE sur les compétences des régions en matière de développement économique, mais l'État peut-il être absent de projets concrets comme la revitalisation de rues commerçantes et de commerces vacants dans les centres-villes et les centres-bourgs – enjeu qui mobilise de nombreuses collectivités ? Relancer le FISAC permettrait non seulement de renforcer les opérations Cœur de ville et Petites villes de demain, mais aussi d'élargir la cible, car de nombreux commerçants et artisans n'entrent pas dans ces dispositifs.