La proposition soulève plusieurs interrogations, notamment concernant le positionnement de ce dispositif par rapport à celui des conseillers du commerce extérieur. Je m'engage néanmoins à ce qu'elle soit étudiée dans des délais rapides par les services du ministère des affaires étrangères, sachant que comme vous l'avez compris, ce ne sont pas les 40 000 euros qui risquent de bloquer le processus, cette mesure visant à accélérer le soutien à l'exportation des entreprises françaises. Demande de retrait ou avis défavorable, mais avec l'engagement de travailler sur le processus lui-même pour essayer de trouver les solutions les plus efficaces.