Il est certain que le coût pour les finances publiques ne sera pas du tout le même selon que vous poursuivez les fermetures de bureaux de poste ou que vous imposez en tant qu'État de larges plages horaires, des remplacements en cas d'absences, des passages quotidiens des facteurs afin d'assurer un vrai service public. On sait que certaines communes rencontrent de grandes difficultés : le facteur ne passe parfois plus que deux fois par semaine. Les fermetures de bureaux de poste sont nombreuses et appliquées sans même que les maires soient prévenus.
J'aimerais donc que cette méthode de calcul soit débattue ici au lieu de faire l'objet d'un décret en Conseil d'État. Ou alors, donnez-nous des explications maintenant, que nous puissions avoir une vraie discussion !