Je comprends mal les arguments qui viennent d'être développés car il s'agit pour nous, au contraire, de favoriser l'actionnariat de long terme, de lutter contre les stratégies de court-terme et de protéger les sociétés du SBF 120 qui sont à peu près toutes exposées au risque d'offre publique d'achat.
Les projets gouvernementaux vont appeler des débats, or bien des positions prises aujourd'hui par la majorité paraissent définitives.