Ce ministère s'est appelé le « ministère de la France d'outre-mer » et François Mitterrand en fut le dernier ministre sous la IV
Si l'on revient sur les crédits engagés, je me considère, en ma qualité de ministre des outre-mer, comme le défenseur de l'intérêt non pas particulier, territorial ou géographique, mais général de ces territoires éloignés de l'Hexagone et même, tout simplement, de Paris.
J'invite à regarder les chiffres tels qu'ils sont : en augmentation. Je le redis et ne le répéterai jamais assez car, comme disait ma défunte grand-mère, gâteau avalé n'a plus de goût.